Ambiance musicale permettant de me brancher sur les ondes ressenties par ces écrivains, devant mon IPad pour prendre le pouls de cette technologie qui nous tenaille ou est cisaille, c'est selon, je choisis un texte au hasard.
D'entrée de jeu, les images associées et les titres me séduisent davantage que les noms de ces virtuoses des mots, qui, je l'avoue, ne me disent strictement rien. C'est bien ainsi. Un lecteur néophyte découvre de nouvelles chrysalides littéraires. Musique, technologie et fauteuil forment notre cocon. J'entre dans leurs univers, témoin furtif à une adresse IP près de leur sentiments et de leurs émotions. Je compose allègrement avec les vagues qu'ils me suggèrent, me laissant tantôt porter, plongeant ici et là, me délectant de l'écume et des embruns à la sortie de leur bureau, de leur relation retrouvée avec la vie, le rythme de la ville, sans la distorsion de la technologie. Ils sortent la tête de l'eau, déploient leurs ailes, prennent leur envol, libérés d'une emprise trop entreprenante. Ils se dégagent des pléonasmes du plasma, se distanciant des terres rares pour mieux retrouver le sens terre-à terre de ce qu'est leur planète rare devenue, depuis l'absence de leur regard, captivé et captif de leur IFun. Je ressens une joie profonde de lire leurs expressions par le biais de leur billet.
Je termine mes lectures, plein de mots, point de maux. Désirant partager ma joie de telles rencontres, bien que virtuelles, je scribouille au clavier ces quelques mots, eh oui, en me servant de la technologie, pour vous dire combien je suis serein, repu d'une plénitude littéraire, courte, intense, savoureuse, qui s'avoue heureuse, parfaitement en phase avec mes papilles littéraires.
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Yvan
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